Partant du principe que nous voudrions toujours faire mieux.
Partant du principe qu’alors nous ne le ferons que quand nous pourrons le faire vraiment bien.
Partant du principe que ce principe est une bonne façon de ne rien mettre en place du tout…
J’ai pris l’habitude de finir mes formations sur cette phrase : mieux vaut un présent imparfait qu’un futur conditionnel.
Aujourd’hui ce n’est peut-être pas au mieux de ce que je voudrais savoir faire ou être.
Mais c’est en faisant que je m’améliore.
Accepter l’imperfection de mes actions d’aujourd’hui pour bâtir un meilleur demain.
Et ne pas attendre un hypothétique demain pour viser une prétendue perfection.
Entendre que ce que je vise, c’est un résultat “in fine”, littéralement “à la fin du chapitre”. Comment faire si je ne l’écris pas ?
Concrètement, je n’attends pas d’avoir retravaillé mes notes de formation : c’est tout de suite que j’applique. Et je reprends le contenu de la formation à la lumière de ce qui se passe en séance aujourd’hui. Sans le délai qui, dans la réalité, éloigne et interdit plus qu’il ne mâture et rassure.
Concrètement, je regarde aujourd’hui non pas comme un demain incomplet, mais comme une liste d’opportunités disponible maintenant. Pas comme un banc d’essai ; comme un terrain de jeu.
Ce n’est peut-être pas l’idéal. Mais aujourd’hui, est-ce vraiment l’idéal d’hier ?
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